Du 12 novembre au 20 décembre 2025, l'Espace des Arts du Boulou présente Un regard sur la nature et le paysage, une exposition photo signée Patrick Chatelier.
Patrick Chatelier, passionné de nature et de photographie, consacre sa vie depuis une cinquantaine d’années, à capturer la beauté du monde à travers son objectif.
Amoureux des grands espaces sauvages, il parcourt les lieux les plus remarquables de la planète, en quête d’émerveillement et d’instants authentiques.
Ses photographies témoignent de sa fascination pour les paysages grandioses où la nature se dévoile dans toute sa splendeur.
À travers son regard, Patrick Chatelier nous invite à une contemplation du monde, où chaque image raconte une histoire, un voyage, une émotion.
L'espace des arts rue des Ecoles au Boulou, propose un tour du monde de ce globe-trotteur photographe jusqu'aux veilles de Noël.
IL Y A TOUT JUSTE 1 AN : retour sur l'exposition Claude VIALLAT été 2024
Le peintre Claude Viallat expose au Boulou : "C'est un retour aux sources"
Sylvie Chambon pour l'Indépendant
"Le célèbre plasticien nîmois Claude Viallat, 88 ans, l’un des membres fondateurs du mouvement Supports/Surfaces, investit la galerie municipale Espace des arts, au Boulou, du 5 juillet au 5 octobre. Une exposition en mémoire d’une des toutes premières manifestations du groupe artistique dans cette même ville… en 1970. Les 200 m2 de surface d’exposition de la galerie, sur deux niveaux, accueillent ainsi une sélection d’œuvres récentes de l’artiste. Celui-ci agence un dialogue entre peintures de grand format et objets pauvres (46 pièces au total), dans une recherche d’équilibre qui compose avec l’espace et le temps, socle de son travail.
En tout premier lieu, pouvez-vous rappeler « la genèse » de Supports-Surfaces (ndlr : mouvement artistique de 1969 à 1972 qui a impacté de manière significative l’art contemporain) ?
-Sur le plan national et même international, on disait que la peinture était finie. Donc, il fallait la recommencer. Si on voulait la recommencer, il fallait la prendre autrement, c’est ce que nous avons essayé de faire. Cela signifiait prendre les mêmes choses et en changer les règles. Nous n’en avons changé qu’une : au lieu d’encoller, d’enduire, et de représenter, on déconstruit le tableau et on présente.
En quoi considérez-vous cette exposition estivale à l’Espace des arts comme un retour aux sources ?
-En mémoire de ce que nous avions réalisé en 1970 au Boulou, dans la rue des Gitans, devenue depuis impasse des Écoles, dans une des pièces de la bouchonnerie de mon beau-père François Pous (ndlr : également sculpteur autodidacte), j’avais envisagé de refaire une exposition ici avec Patrick Saytour et Daniel Dezeuze (ndlr : membres de Supports/Surfaces. André Valensi, le quatrième de « la bande » était décédé en 1999). Mais entre-temps, en août 2023, Saytour est mort. Et Dezeuze n’a pas souhaité poursuivre le projet. Je me retrouve donc seul à exposer.
Au-delà du Boulou, le département des P.-O. reste un marqueur fort dans votre parcours ?
-Je n’oublie pas mon exposition Impact I en 1966 au musée de Céret. Par la suite, j’ai été très suivi par ses conservateurs successifs et j’ai fait don de plusieurs œuvres. Collioure a aussi été très important : j’ai notamment peint une fresque dans une des salles du restaurant « Les Templiers ». Et je suis très lié amicalement à Joséphine Matamoros (ndlr : ancienne directrice des musées d’art moderne de ces deux villes).
Les P.-O. c’est aussi le peintre cérétan Camille Descossy, votre professeur aux Beaux-Arts de Montpellier, dans les années 1950… et extrêmement attaché au figuratif ?
-Mon patron. Il m’a appris toutes les bases académiques de mon métier. C’est-à-dire tout sur quoi je travaille actuellement, mais sur de la toile ni encollée ni enduite, ce qui fait que c’est elle qui travaille la couleur.
Avant d’aborder en détail votre technique, il y a ce fameux motif répétitif devenu votre signature. Il apparaît pour la première fois dans votre œuvre en 1966. Un accident ?
-Au départ, le procédé est celui qu’utilisaient, dans ma région, les maçons. Quand ils blanchissaient une cuisine, ils prenaient un chiffon ou une éponge, et ils tamponnaient les murs régulièrement, de manière à avoir une sorte de papier peint des pauvres. Moi, j’ai trempé une éponge dans la couleur noire, je l’ai pressée plusieurs fois sur une toile crue. Ne parvenant pas à la nettoyer, je l’ai laissée une nuit dans de l’eau de Javel. Le lendemain, elle s’est délitée. Un des morceaux est la forme que j’utilise encore, approximativement.
Comment est-elle devenue le pivot de votre recherche ?
-Seul, ce motif n’a aucun intérêt, sinon d’être une forme qui occupe un espace : ni figurative, ni représentative, ni symbolique, ni géométrique, ni décorative. Elle est une forme pour toutes les formes. Pour moi, elle est aussi la possibilité de ne pas avoir à me préoccuper de ce que va représenter la toile. Elle sera forcément la répétition d’une forme identique. C’est un processus.
Comment parvenez-vous, depuis tant d’années, à toujours développer ce principe unique ?
-Parce que, chaque fois, je trouve des libertés nouvelles qui génèrent des possibilités différentes. J’essaie de ne pas passer à côté.
Comment travaillez-vous ?
-Je suis un opportuniste forcené ! Je vis... et je récupère ce qui est à ma portée. Le reste, je le laisse. C’est une philosophie : une façon de tourner le négatif en positif. Je crée toujours à partir de tissus de récupération que je raboute et qui me donnent des formes plus ou moins extravagantes. Je travaille la couleur avec un pochoir sur des toiles crues. Toujours au sol. Comme je le disais précédemment, c’est la manière dont les toiles vont modifier la couleur qui me donne le résultat : jamais voulu, jamais prévu, mais toujours accepté.
Comment articulez-vous l’œuvre à l’espace et au temps ?
-Je ne peins pas des tableaux. Donc je n’aligne pas des toiles, je les agence en fonction de l’espace. J’essaie de désacraliser la peinture le plus possible. Mes supports sont des matériaux qui ont déjà vécu. Et peu importe si le tissu fane, vieillit ou se détériore. Tout ce qui est inhérent à la vie de la toile compte. Et mon souhait est que mes toiles vivent.
Vous êtes, à votre tour, devenu, un maître, un influenceur…
-Je suis devenu ce que je suis devenu ! Je suis quelqu’un qui travaille. Ce qui m’importe c’est la toile que je ferai demain. Ce qui m’importe aussi c’est que celle que je fais aujourd’hui ne soit pas mal interprétée.
Quel regard portez-vous sur les jeunes artistes actuels ?
-Beaucoup refont de la peinture, ce qui me fait plaisir. Il y a un peu la mode sur la représentation et les images. Moi, c’est d’abord la peinture qui m’intéresse. Si on doit travailler sérieusement, c’est la peinture qu’on doit travailler".
Rue des écoles, au Boulou. Ouvert du mardi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h, sauf jours fériés. Exceptionnellement, samedi 6 juillet, ouvert uniquement de 14h à 18h. Entrée libre. Contact : 04 68 83 36 32 – Eda Espace des Arts
Le célèbre plasticien nîmois Claude Viallat, 88 ans, l'un des membres fondateurs du mouvement Supports/Surfaces, investit la galerie municipale Espace des arts, au Boulou, du 5 juillet au 5 octobre
Le Boulou Claude Viallat, une expo événement - Nicole Gaspon pour le Travailleur Catalan
L’Espace des Arts accueille pour trois mois les œuvres récentes d’un des grands représentants de la peinture contemporaine.En pleine installation de l’exposition à l’Espace des Arts du Boulou, nous avons pu échanger avec Claude Viallat, un des plus grands artistes contemporains vivants, fondateur dans les années 70 du groupe Supports/Surfaces.
Des liens intimes avec le département Gardois, l’artiste a des attaches fortes avec les Pyrénées-Orientales, sa femme est née au Boulou, Camille Descossy, son professeur aux Beaux-Arts de Montpellier, résidait à Collioure. Claude Viallat a exposé au Boulou, à Céret, au Musée d’Art Moderne, auquel il a donné beaucoup d’œuvres, comme à celui de Collioure. Claude Viallat en profite pour rendre hommage à l’ancienne conservatrice des deux musées, Joséphine Matamoros, « elle a été très importante pour moi » et d’ajouter « Les P.-O. comptent beaucoup pour moi. »
C’est encore le chantier, des tissus peints, des bâches jonchent le sol, ce qui nous fait vivre l’expérience d’une exposition en train de se faire. Au fil d’une conversation à bâtons rompus, Claude Viallat évoque son travail tout en gardant un œil vigilant sur ceux qui installent ses œuvres, n’hésitant pas à se lever pour scruter une toile, ou s’interrompre pour décréter « non, pas comme ça » ou « dans ce sens... »
On a bien sûr en tête sa marque de fabrique, cette forme qui ressemble à une éponge ou un haricot qui se répète à l’infini dans ses œuvres. Un procédé à base d’empreintes. « Une forme neutre, ni naturelle, ni géométrique, sur une toile libre, sans châssis. » lit-on dans le dossier de presse. L’artiste nous dit : « mon motif, c’est une forme qui n’a aucune utilité, qui occupe un espace, je n’ai pas à me préoccuper de ce que va représenter ma toile... C’est le procédé des maçons de la région nîmoise, ils tamponnaient le mur avec un chiffon. » Pour ce faire il prend ce qu’il trouve : « je suis un opportuniste forcené, je récupère ce qui est à ma portée. » Il évoque « des tissus récupérés qui donnent une forme, je travaille avec un pochoir dont le bord donne les mesures. De la couleur sur des toiles crues, j’accepte le résultat, il n’est jamais prévu. »
Il travaille au sol des toiles qui ont vécu. « Si elles sont abîmées, tant pis, c’est ce qui est inhérent à la vie... Tout est dû au hasard, les formes ne sont jamais les mêmes, je ne fais pas des tableaux ! » Déjà accrochée, une toile aux tons jaunes dans laquelle on devine un taureau. Claude Viallat : « la tauromachie c’est ma culture. Ceux qui sont contre sont intolérants, ils disent ce qu’il faut penser. »
Retour sur l’aventure de Supports/Surfaces, elle partait d’une interrogation : « la peinture est-elle finie ? Il fallait donc la recommencer, on a déconstruit, changé les règles. » Aujourd’hui Claude Viallat est heureux « qu’il y ait beaucoup de jeunes artistes qui font de la peinture. »
« Claude Viallat à l’espace des arts du Boulou : une évidence »
Samedi 6 Juillet dernier s’est tenue à la galerie municipale « espace des arts » rue des Ecoles au Boulou, l’inauguration de l’exposition de l’artiste nîmois, Claude Viallat. Le Maire François Comes et l'Adjoint à la Culture ont pris la parole pour remercier l'artiste et lui faire part du plaisir et de l'honneur de le recevoir sur la commune.
Après l’allocution de M. Robert Garrabé, Vice-Président du Conseil Départemental des P.O, qui a rappelé l’importance de présenter des expositions d’une telle qualité, Mme Joséphine Matamoros, Conservatrice en chef honoraire du patrimoine des musées de Céret et de Collioure, s’est à son tour exprimée pour féliciter M. le Maire d'accueillir un évènement d'une telle ampleur.
Mme Matamoros a chaleureusement salué l’épouse de l’artiste, Henriette, née Pous. Elle a ainsi rappelé qu'entre Claude Viallat et le Boulou, c’est une histoire de plusieurs décennies : Jean Pous puis son fils, François, et la fille de François, Henriette, ont vécu au Boulou dans l’usine de bouchons familiale qui a vu naître les œuvres de cette famille d’artistes et les œuvres de Claude Viallat.
C’est à l’été 70 que Claude Viallat a présenté, à même la rue, actuelle impasse des Ecoles, une installation de ses travaux. Comme l’a souligné Mme Matamoros :"Claude Viallat et le Boulou, c’est une évidence (...) Claude, tes oeuvres récentes sont magnifiques"a-t-elle déclaré à l’artiste et ami Claude Viallat, ajoutant :"Je tiens par ailleurs à féliciter l'espace des arts pour le travail constant accompli depuis de nombreuses années".
M. Claude Viallat a remercié la Municipalité pour l’accueil qu’elle lui a réservé et a précisé que cette exposition prévue depuis plus d’un an, devait à l’origine réunir également Patrick Saytour et Daniel Dezeuze, deux autres artistes du mouvement Supports-Surfaces dont Viallat fut l'un des membres fondateur. La disparition de Patrick Saytour en août dernier n’ayant pas permis de concrétiser ce projet.
Claude Viallat a investi seul le lieu, prenant en compte ses volumes, son architecture, ses accidents aussi. Au-delà des contraintes, c’est la liberté qu’il permet qui a intéressé l’artiste qui a ainsi pu jouer avec l’espace. Le résultat est remarquable.
L’exposition « Claude Viallat » est à voir jusqu’au 5 octobre inclus, du mardi au samedi inclus (hors jours fériés), de 9h à 12h et de 14h à 18h, en entrée libre. Contacts : 04 68 83 36 32 mairie-leboulou.fr Eda Espace des Artswww.espacedesarts.pro
Y. Erre-Serra, 9 juillet 2024
Mme Joséphine Matamoros, Conservatrice en chef honoraire du patrimoine des musées de Céret et de Collioure
le coup d’envoi a été donné le jeudi 19 sept. au soir à la Maison de l’eau et de la Méditerranée (MEM) avec la projection du film documentaire: "Claude Viallat, un peintre dans l’arène" de Guy Lochard et Olivier Guérin(Striptease), réalisateurs, retraçant le parcours de cet immense artiste, membre fondateur du mouvement Supports-surfaces.
Une conférence donnée par Alexandre Charrett-Dykes, docteur en histoire de l’art, s'est tenue à l’espace des arts (EDA),le samedi 21 sept. au matin, au sein de l'exposition Claude Viallat, elle a permis de prendre toute la dimension de ce courant artistique majeur qu’est le mouvement Supports-Surfaces (1970-1972).
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Où l’on découvre une œuvre qui n’a pas peur de l’eau.
1973, Londres. Christopher Johnstone, alors jeune conservateur, està la recherche d’un tableaude la Tate Gallery. Serait-ce l’une de ces toiles enroulées, longtemps oubliées dans les réserves du musée ?
Paul Delaroche, Le Supplice de Jane Grey, 1833, huile sur toile, 246 x 297 cm, National Gallery, Londres
Pour en avoir le cœur net, il la fait dérouler et découvre qu’il avait raison. Mais ce n’est pas la seule surprise : à l’intérieur de son tableau... s’en trouvait un second, lui aussi soigneusement préservé !
Quelle est donc l’œuvre qu’il vient de dévoiler ? Avec stupeur, Johnstone y voitune jeune femme apeurée, les yeux bandés, sur les lieux de son supplice. Il reconnaît l’exécution de la jeune reineJane Grey, un épisode historique bien connu au Royaume-Uni. Bingo : Johnstone ne tarde pas à comprendre qu’il a retrouvé un véritable chef-d’œuvre perdu !
En effet, le tableau n’est autre queLe Supplice de Jane Greypeint par le FrançaisPaul Delarocheen 1834. À l’époque, il fait sensation : les spectateurs s’évanouissent de frayeur à sa vue. Des collectionneurs s’arrachent l’œuvre et l’un d’eux finit par la léguer au musée anglais.
Paul Delaroche,Autoportrait, avant 1848, crayon et fusain sur papier, 31 x 23 cm, Musée Hébert, Paris
Détail de l'œuvre
Mais au début du 20e siècle, alors que les avant-gardes triomphent, ces émotions théâtrales sont passées de mode.Désormais peu apprécié, le tableau part sommeiller en réserve… jusqu’à une crue de la Tamise, survenue en 1928, qui ravage les sous-sols de la Tate Gallery ! Le tableau de Delaroche est porté disparu : l’œuvre n’aurait pas survécu à presque trois mètres d’eau. Sa redécouverte tardive est donc un véritable miracle…
Après restauration,Le Supplice de Jane Greyretrouve sa place dans les salles d’exposition dela National Gallery. Et le charme opère à nouveau : l’œuvre est aujourd’hui l’un des emblèmes du musée. Qui l’eût cru : elle y est même devenuela carte postale la plus vendue!
National Gallery, Londres, Royaume-Uni. Photo : Diego Delso, CC BY 4.0
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La galerie municipale « espace des arts » (EDA) a pour mission de proposer gratuitement au public (boulounenc et extérieur), des expositions d’art visuel de qualitéà travers letravail d’artistes confirmés ayant unesolide démarche plastique. L'EDA est une vitrine de la politique culturelle de la ville qui contribue à faire connaître le Boulou à l'extérieur.
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Enfin, desconférences et ateliers de pratique artistique tenus par desprofessionnels de l’art, sont proposés tout au long de l’année pour permettre davantage encore aupublic enfant, adolescent et adulte, dese former à l’art et son histoire.
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Galerie d'art - expositions temporaires L'espace des arts est une galerie municipale recommandée par le Guide du Petit Futé qui accueille à l'année toute forme d'expression plastique d'approche...
La galerie municipale " espace des arts " propose à l'année des expositions de qualité à travers la photo, la peinture, la sculpture, etc ; vitrine de l'art actuel, elle permet aux artistes de la région et de l'extérieur, de présenter un large éventail de leur production plastique et au visiteur, de découvrir une exposition sur les arts visuels en moyenne tous les deux mois, L'entrée est libre. Contacts : 04 68 83 36 32 et : espacedesarts@mairie-leboulou.fr Pour voir les expositions passées et à venir, le blog de l'espace des arts : www.espacedesarts.pro
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