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C'EST DANS 1H !

CE SOIR JEUDI 7 JUILLET A 18H30 SPECTACLE DE LA COMPAGNIE PAOLA MAURESO

Danse, Chant, Poésie, Musique

 

tarif de la Compagnie: 12 euros (réduit: 6)

"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
 
"Le guitariste Juan-Francisco Ortiz
 
 me fait l'honneur
d'offrir un concert au coeur de mon exposition,
 
"de l'enfouissement à la résistance"
 
Je connaissais le guitariste classique,
élève d'Ida Presti, d'Alexandre Lagoya et d'Andrès Ségovia,
je découvre un homme qui n'a pas oublié d'où il vient !
Enfant de la Retirada, d'un père républicain espagnol,
au destin douloureux auquel il rend hommage,
un homme enfin qui place l'éthique au-dessus de l'intérêt !
Heureux de construire avec lui le temps d'un concert,
une poétique d'espace partagée, plastique et musicale.
 
Venez "écouter et voir" un moment lumineux,
encore sous le signe de la transversalité
des pratiques expressives et des pensées ...
Nous serons ravis de vous accueillir
 
le mardi 28 juin à 18h30
à la galerie "espace des arts"
rue des écoles au BOULOU
 
Joseph Maureso 
 
(N'oubliez pas de réserver au 04 68 83 36 32 
les places sont limitées)
*********
 
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO

 

ci-dessus à: 00:06:35 quelques vues de l'exposition de Joseph Maureso à l'espace des arts rue des écoles au Boulou diffusées sur france tv 3 le 15 juin au journal des locales.

Bonjour,
 
"Un exemple rare de transversalité spontanée des pratiques expressives et des pensées, à ne pas manquer SAMEDI 18 JUIN 11H !!!
 
"De l'enfouissement à la résistance", une désignation revisitée par une poétesse, Evelyne Maureso, une danseuse et chorégraphe Paola Maureso, un musicien multi-instrumentiste Sylvain Guerrier.

Trois créateurs en lien pour parcourir ensemble des landes plastiques, aux confins de mes paysages intérieurs.

Ce que j'ai vu m'a coupé le souffle…
Il existe encore des marges lumineuses de l'humanité !"
 
Joseph Maureso
 
 
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
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photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes
photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes

photos Joseph Maureso, Ch. Erre, Irène Papp, Michel Fourquet, Y. Erre-Serra, John Hawkes

"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO

MERCREDI 15 JUIN 10H: atelier en direction des 8/12 ans (gratuit / 1h30) Visite de l'exposition en place, discussion et réalisation graphique d'après les oeuvres exposées. Inscriptions la veille avant midi au plus tard. Places limitées. Contact: 04 68 83 36 32 "espace des arts" rue des écoles, le BOULOU 

"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
L'INDEPENDANT 25 MAI 2022

L'INDEPENDANT 25 MAI 2022

le Travailleur Catalan / Nicole Gaspon (performance prévue le 13 mai, reportée au 7 juillet 18h30)

le Travailleur Catalan / Nicole Gaspon (performance prévue le 13 mai, reportée au 7 juillet 18h30)

"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO

SAMEDI 14 MAI 14H30: atelier Phil'Art en direction des adultes (gratuit / 1h30) Visite de l'exposition en place, discussion et réalisation graphique d'après les oeuvres exposées. Inscriptions la veille avant midi. Places limitées. Contact: 04 68 83 36 32

 

"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO

L'espace des arts accueille le travail du plasticien Joseph Maureso, travail qui est également présenté au Cloître d’Arles sur Tech et au Prieuré de Marcevol cet été.

Pour cette exposition, Maureso a invité les peintres Gilles Olry, André Robèr et Antonio Sa Poès à intervenir sur quelques-unes de ses peintures.

Le temps semble s’être arrêté dans les toiles de Maureso. Seul l’espace règne en maître et on ne sait s’il s’agit du passé, du présent ou d’un futur anticipé quelque peu menaçant suggéré par des ciels orageux.

Les toiles de Joseph Maureso sont faites de teintes sourdes, celles de la terre porteuse de tous les possibles avec peut-être, une promesse d’atteindre les cimes.

On peut y voir des éléments organiques, une sorte d’humus, des champignons, des oeufs et des cocons qui évoqueront le cycle de la vie mais une vie latente, en devenir et ce, malgré la présence de crânes.

Oui, sinon la mort, quelque chose en sommeil, de la décomposition à la germination.

Maureso peint parfois de toutes petites silhouettes humaines pour nous rappeler notre place qui semble insignifiante. Ici, une toile représentant les membres d’une famille tournés vers un horizon qui nous est inconnu, flanqués de cette forme mystérieuse qui pourrait être leur vaisseau ou  leur tombeau peut-être.

Joseph Maureso est-il un artiste visionnaire et nous met-il en garde ? Les hommes vont-ils être balayés de la surface de la terre ? Est-ce une prière pour que l’homme s’élève et ne fasse qu’un avec l’autre et avec l’univers ? Y a t-il de l’espoir ?

Beaucoup de questions devant les toiles de Maureso, en suspens elles aussi et chacun apportera sa pierre à cet édifice.

Mais au final, le sujet de la peinture de Joseph Maureso est la peinture elle-même. Et tout le mystère de la création auquel est confronté le peintre.

Cette peinture prend sa source au fond de l’être, et comme source de vie, est porteuse de lumière. On touche au sacré sans pour autant parler de religion, il y a une spiritualité évidente qu’accentue encore le traitement vertical.

Tout le talent du peintre est de nous accompagner dans ce cheminement que nous faisons nôtre.

Entre onirisme poétique et réalité politique, quelle est la place de l’homme ? Où commence et où finit l’histoire de l’Humanité ?

C’est sur cette dernière question que je souhaite terminer pour peut-être rejoindre, quelque part, le titre de cette exposition « de l’enfouissement à la résistance », visible jusqu’au 7 juillet.

 Y. Erre-Serra, 7 mai 2022

 

 Christian Erre photo 

 

Merci à tous les participants qui ont fait de cet évènement, un beau moment de partage.

 

 
ce samedi 7 mai à 11h
Vernissage de mon exposition
"De l'enfouissement à la résistance" 
Espace des Arts Le Boulou
rue des Ecoles
(peintures hybrides, action performative, poésie,
 chant, musique et danse contemporaine)
 

au plaisir de vous voir !

Joseph MAURESO

 
cliquer sur l'image pour l'agrandir

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De quel enfouissement s'agit-il ?
Dans la discrétion de l'atelier, l'enfouissement est ce moment de la présence invisible d'une distanciation réflexive et sensible, d'un glissement de la pensée articulée vers la pensée intuitive, d'une plongée verticale et solitaire au cœur de la gravité, là où la valeur des choses participe d'une permanence, quand tout autour est en devenir perpétuel.
C'est à la source même de l'identité, dans l'espace d'un sacré libéré de ses attributs religieux, que l'on prend avec soi ses valeurs essentielles pour investir l'espace social avec une puissance de résistance aux prégnances idéologiques, aux intérêts artificiels procurés par les principes de la consommation.
 
De quelle résistance s'agit-il ?
Dans la lumière de l'espace social, au lieu même de mes installations, la résistance est cette transversalité horizontale vers l'autre, à considérer comme constitutif de ce que l'on est.
Aujourd'hui, dans cette terrible alternative, soit qui favorise l'individualisme forcené soit qui favorise la défiance de l'autre, cette nouvelle économie de l'autre est sinon un pouvoir mais une puissance que je souhaite invasive.

Elle préfigure cette utopie d'une capacité de l'homme à penser un "destin commun de l'humanité !"

 
Joseph MAURESO
"De l'enfouissement à la résistance"
 
Le titre de l'exposition ouvre à chacun une piste singulière,
en effet c'est un va et vient éprouvé par chacun 
dans sa relation jamais simple avec la complexité de l'espace social. 
Tantôt on se retranche dans sa solitude partenaire,
tantôt au contraire on éprouve la nécessité d'affirmer une territorialité
identitaire propre, une différence.
C'est un aller retour dialectique où l'un ne va pas sans l'autre et l'autre sans l'un...
 
Mais cette considération totalisante se heurte à la peinture, 
se heurte à la concrétude d'un morceau de réel
qui s'adresse à nos sens et au sens,
en dehors du territoire des mots.
On perçoit la présence d'une intelligence intuitive,
sans objet précis.
C'est un peu comme si la peinture nous regardait à rebours
et tentait de découvrir en nous la construction d'un regard. 
C'est paradoxal, car c'est au sujet regardant d'inventer la peinture en question,
elle se propose seulement comme un support de créativité réflexive.
 

Des pierres sans gravité sont évoquées de façon récurrente,

sommairement car là n'est pas la question,
elles survolent des paysages oniriques sans destination, 
elles se déplacent au moins par deux car dans le voyage la seule chose qui compte
c'est la compagnie, le reste n'a aucune importance...
C'est la question de la peinture, 
sa solitude lors de sa formation elle-même,
puis son silence et son immobilité dans un monde en devenir perpétuel.
Il ne reste que de vagues symptômes
de l'activité du sujet actant,
peu de traces identifiables mais par contre, il reste l'implicite puissance  de sa fragilité,
il demeure la trace invisible des moments de liberté
où il aida sa peinture à s'affranchir de lui-même, de son intentionnalité.
 
C'est la forme d'un rapport  intime et social au monde en résistance, 
une tache aveugle dans le troupeau comme dans l'œil du loup solitaire.
Échapper au rapport de force qui règle l'activité humaine
indexé sur cette ignominie de la nature où "l'homme est un loup pour l'homme". 
Échapper au rapport de force par cette transversalité horizontale vers l'autre
dans son altérité et que paradoxalement on considère comme constitutif de ce que l'on est. 
 
Reste cette famille réduite au couple originel  et à ses deux enfants,
dans l'œil du père comme un repère essentiel,
qui rêve sa vie dans l'intranquillité,
la peur au ventre et les yeux au ciel.
 
 
Joseph MAURESO
avril 2022
 
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
"de l'enfouissement à la résistance" Joseph MAURESO
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